Ce vendredi 6 novembre l’APARE (association des présidents des Associations du Rugby de l’Elite) a tenu sa dernière réunion de l’exercie 2019 au Stade jean Alric. Étaient présents à ce rendez-vous les présidents (ou leur représentant) des associations du Racing 92, du Stade Français, du Stade Toulousain, de Pau, Agen, Clermont, Montpellier, Lyon, Oyonnax, Grenoble, Brive, Soyaux Angoulême, Carcassonne, Béziers, Colomiers, Vaence-Romans, Montauban, Albi, et bien sûr Aurillac. Philippe Rougé Thomas était également là, en tant que responsable du haut niveau au sein de la Direction Technique de la FFR.
L’Apare, entité indépendante de la FFR et de la LNR permet aux présidents d’association d’échanger sur leurs principales préoccupations, de mettre en oeuvre des actions spécifiques (comme le Super Challenge de France des U14)et d’être une force de proposition pour la FFR ou la LNR.
Le 6 décembre, plusieurs sujets ont été abordés: recrutement en EDR et interventions en milieu scolaire, positionnement des centres de formation, fonctionnement des académies fédérales, évolution des modalités de détection et de suivi des hauts potentiels (U14 et U15), développement du rugby à 7, prévention des incivilités dans les stades, bénévolat, infrastructures souvent insuffisantes pour accueillir les équipes de jeunes…Le rugby féminin a fait l’objet d’une attention particulière comme un formidable vecteur de développement du rugby et des clubs. Il a été regretté que la FFR et la LNR relâchent un peu la pression qu’elles exerçaient auprès des clubs pro pour que chacun s’engage dans la création d’équipes féminines.
Bien sûr, avant de rejoindre leurs clubs (ou pour une bonne partie d’entre Clermont-Ferrand et l’assemblée générale financière de la FFR le 7 décembre) les participants ont pu partager un bon moment de convivialité à l’espace Louis Fajfrowski et définir les thèmes principaux de leur prochaine réunion programmée en février à Angoulême: l’arbitrage et la coupe du monde 2023.